Au Bon Marché, Les Grands Magasins du Louvre, Au Printemps, La Samaritaine, et Les Galeries Lafayette dévoilent leurs facettes à travers l’histoire, la politique et la société, du Second Empire jusqu’à leur consécration lors de l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925.
20 personnes
25 personnes. (s’inscrire avant début novembre)
Méconnue en dehors des frontières de son pays, Harriet Backer a été la peintre femme la plus renommée en Norvège à la fin du XIXe siècle. Elle a réalisé une synthèse très personnelle des scènes d’intérieur et de la pratique du plein-air, puisant aussi bien son inspiration dans le courant réaliste que dans les innovations de l’impressionnisme à travers une touche libre, une palette qui s’éclaircit et un très grand intérêt porté aux variations de la lumière.
Cette exposition rejoint un des axes majeurs de programmation du musée d’Orsay qui propose, en parallèle des présentations des figures les plus emblématiques, des découvertes des artistes moins célèbres mais essentiels pour comprendre les grandes évolutions de l'art de la seconde moitié du XIXe siècle. La Norvège fait l'objet d'une attention toute particulière en raison du dynamisme de sa scène artistique et des liens privilégiés que les artistes entretenaient avec les avant-gardes parisiennes.
20 places
Doté d’un goût sûr, d’une insatiable curiosité et d’une extraordinaire capacité à déceler les chefs-d'œuvre parmi les productions de son temps, Scipion Borghèse complétait sa collection par tous
les moyens, légaux ou non. Il s’est ainsi imposé comme l’un des premiers et des plus importants collectionneurs et mécènes de l’histoire de l’art moderne, faisant de la Villa Borghese un
véritable musée avant la lettre.
Dans le contexte d’une campagne de travaux de rénovation du musée romain le public pourra voir un ensemble d’œuvres majeures d’artistes célèbres de la Renaissance et de la période baroque rarement prêtées à l’étranger, du Caravage à Rubens, en passant par Botticelli, Raphaël, Titien, ou encore Véronèse, Antonello da Messina et Bernin.
15 personnes.
Cette exposition retrace l’histoire de la représentation de la réalité dans les arts. Au cours des siècles, le trompe-l’œil se décline à travers des médiums divers et se révèle pluriel. Il joue avec le regard du spectateur et constitue un clin d’œil aux pièges que nous tendent nos propres perceptions. Si certains thèmes du trompe-l’œil sont connus – tels que les vanités, les trophées de chasse, les porte-lettres ou les grisailles – d’autres aspects seront abordés dans cette exposition, comme les déclinaisons décoratives (mobilier, faïences, ...) ou encore la portée politique de ce genre pictural à l’époque révolutionnaire jusqu’aux versions modernes et contemporaines.
Bulletin à compléter et renvoyer au secrétariat :
- par courrier : Bernadette Choppin - Association Pallas 24 avenue Jean Moulin, 75014 Paris
- par e-mail : assopallas75@gmail.com